Histoire et récit du web

Histoire et autres récits du web

 Histoire du web

La théorie de la fenêtre cassée 

Vous pourriez ĂŞtre tous concernĂ©s par cette histoire du web « La thĂ©orie de la fenĂŞtre cassĂ©e » qui est basĂ©e sur un article de l’Atlantic Monthly publiĂ© en 1982. Il convient de lire l’article pour mieux comprendre les facteurs humains Ă  l’origine de la thĂ©orie de la fenĂŞtre cassĂ©e.

Au niveau de la communauté, le désordre et le crime sont généralement inextricablement liés, dans une sorte de séquence de développement. Les psychologues sociaux et les agents de police ont tendance à être d’accord pour dire que si une fenêtre est cassée dans un bâtiment. Et quelle n’est pas réparée, toutes les autres fenêtres suivront soit seront bientôt toutes cassées.

Cela est aussi vrai dans les beaux quartiers que dans les quartiers dĂ©labrĂ©s. Le bris de fenĂŞtre ne se produit pas nĂ©cessairement Ă  grande Ă©chelle car certaines zones sont habitĂ©es par des brise-vitres dĂ©terminĂ©s, tandis que d’autres sont peuplĂ©es d’amateurs de fenĂŞtres, au lieu de cela, une fenĂŞtre cassĂ©e non rĂ©parĂ©e est un Ă©tat d’indiffĂ©rence pour la communautĂ© et que casser d’autres fenĂŞtres ne coĂ»te rien.

Philip Zimbardo, un psychologue de Stanford

Histoire du Web la fenĂŞtre cassĂ©e A rapportĂ© en 1969 certaines expĂ©riences testant la thĂ©orie de la fenĂŞtre cassĂ©e. Il s’est arrangĂ© pour avoir une voiture sans plaques d’immatriculation garĂ©e avec son capot sur une rue du Bronx et une automobile comparable dans une rue de Palo Alto, en Californie. La voiture dans le Bronx a Ă©tĂ© attaquĂ©e par des « vandales » dans les dix minutes de son « abandon ». Les premiers arrivĂ©s sur les lieux Ă©taient une famille ; un père, mère et jeune fils qui ont enlevĂ© le radiateur et la batterie.

En vingt-quatre heures, pratiquement tout ce qui avait de la valeur avait été supprimé. Puis la destruction au hasard a commencé par briser les fenêtres, arrachés les pièces, les accessoires. Puis les enfants ont commencé à utiliser la voiture comme terrain de jeu. La plupart des « vandales » adultes étaient des blancs bien habillés, apparemment coupés. La voiture à Palo Alto est restée intacte pendant plus d’une semaine. Puis Zimbardo en a brisé une partie avec une masse. Bientôt, les passants se sont joints à eux. En quelques heures, la voiture a été renversée et complètement détruite. Encore une fois, les « vandales » semblaient être principalement des blancs respectables.

Les biens non conservĂ©s deviennent un jeu Ă©quitable pour les gens qui s’amusent ou se livrent au pillage, et mĂŞme pour les personnes qui ne rĂŞvent gĂ©nĂ©ralement pas de faire de telles choses et qui se considèrent probablement respectueuses des lois. En raison de la nature de la vie communautaire dans le Bronx, son anonymat, la frĂ©quence Ă  laquelle les voitures sont abandonnĂ©es et les objets volĂ©s ou brisĂ©s, l’expĂ©rience passĂ©e de «personne mal attentionné»

Le vandalisme commence très facilement

Lorsque les gens en sont venus Ă  croire que les biens privĂ©s sont pris en charge et que leur comportement malicieux est coĂ»teux. Mais le vandalisme peut se produire n’importe oĂą une fois que les barrières communautaires

Le sentiment de respect mutuel et les obligations de civilitĂ© sont abaissĂ©es par des actions qui semblent indiquer que tout le monde reste indifĂ©rent. Il y a mĂŞme un livre complet sur ce sujet. Ce qui est fascinant pour moi, c’est que la simple perception du dĂ©sordre. MĂŞme avec des dĂ©lits mineurs sans importance comme le graffiti ou le vandalisme mineur, provoque une boucle de rĂ©troaction nĂ©gative qui peut entraĂ®ner un dĂ©sordre total.

Nous suggĂ©rons que le comportement « non contrĂ´lé » entraĂ®ne Ă©galement la rupture des contrĂ´les communautaires. Par exemple, un quartier stable de familles qui s’occupent de leur foyer, s’inquiètent mutuellement des enfants et craignent avec confiance les intrus indĂ©sirables. Ainsi il est possible qu’en quelques annĂ©es ou quelques mois, le quartier se transforme en une jungle inhospitalière et effrayante.

Un morceau de propriĂ©tĂ© est abandonnĂ©, les mauvaises herbes grandissent, une fenĂŞtre est brisĂ©e. Les adultes cessent de gronder les enfants tapageurs ; les enfants, s’enhardissent et deviennent plus chahuteurs. Les familles dĂ©mĂ©nagent, restent seulement les anciens. Les adolescents se rassemblent devant le dĂ©panneur. Le marchand leur demande de bouger; ils refusent. Des combats se produisent. Les zones s’accumulent. Les gens commencent Ă  boire devant l’Ă©picerie; Ă  cet instant, un ivrogne tombe sur le trottoir et s’endort. Les piĂ©tons approchent…

À ce stade, il n’est pas inévitable que des crimes graves se développent ou que des attaques violentes contre des étrangers se produisent. Mais de nombreux habitants penseront que la criminalité, en particulier les crimes violents, est en hausse et ils modifieront leur comportement en conséquence. Ils utiliseront les rues moins souvent et resteront dans la rue.

Morale de la théorie des fenêtres cassées pour les acteurs du web !

Ne laissez pas les «fenĂŞtres cassĂ©es» (mauvaises conceptions, mauvaises dĂ©cisions ou mauvais code) non rĂ©parĂ©es. RĂ©parez chaque bug, s’il n’y a pas assez de temps pour le rĂ©parer correctement, retirer le. Vous pouvez peut-ĂŞtre commenter le code incriminĂ©, afficher un message « Non implĂ©menté » ou substituer des donnĂ©es factices Ă  la place. Prenez des mesures pour Ă©viter d’autres dommages et pour montrer que vous ĂŞtes informĂ© de la situation.

Nous avons vu des systèmes propres et fonctionnels se dĂ©tĂ©riorer assez rapidement une fois que des bugs sont apparus. Il y a d’autres facteurs qui peuvent contribuer Ă  la destruction des logiciels, et nous en aborderons d’ailleurs d’autres, mais la nĂ©gligence accĂ©lère la dĂ©gradation plus rapidement que tout autre facteur.

Source : Atlantic Monthly publié en 1982

 

Les tribus du web choisir son camps et ses valeurs (Histoire du web)

Les mauvais enfants du web, cela commence par roulez-vous en Porsche ou vivez-vous toujours chez vos parents ?
Quelle tribu choisir sur le web pour concilier réussite économique, éthique, social.

Au cours des dernières années, le marketing en ligne a été scindé en deux équipes adverses soit 2 tribus : Les COOL KIDS et les IMER

Histoire des du web (La tribu des Cool Kids et Imer) choisir son camps et ses valeurs Mentionnez « marketing internet » Ă  certains et des images dĂ©sagrĂ©ables de « gourous » leur viennent Ă  l’esprit. Ce sont les (IMER)
Mentionnez « social media marketing » a d’autres, ce sont des idĂ©alistes qui font de la communication sur le Net. Ce sont les (COOL KIDS)

D’un cĂ´tĂ©, c’est la tribu des Cool Kids . Leur passion c’est la communication et ils utilisent les logiciels open-source, des coupes de cheveux Ă  la mode, ils sont sur la bonne voix et ont de l’influence, ce sont de très bons auditeurs. Ils font parti d’un collectif qui ressemble un peu a des crĂ©atures cybernĂ©tiques, se branchant dans la conscience collective. Ils passent plus de temps Ă  la mise Ă  jour du collectif et dĂ©laissent en parti leur activitĂ© et Ă©conomie.

De l’autre cĂ´tĂ© c’est la tribu des Imer. Ceux ci conduisent des belles voitures avec toutes les options. Ils sont pour la valorisation de l’argent mais sont ennuyeux a mourir. S’il fallait les reprĂ©senter, ils seraient des rebelles de bandes dessinĂ©s, ils volent le système et sont près Ă  tout pour obtenir ce qu’il dĂ©sire, ils peuvent passer 16 heures par jour a travailler afin de gagner de l’argent pendant qu’ils dorment.

DĂ©sormais, il existe un vrai enjeux entre les plus brillants acteurs du marketing et les meilleurs esprits du web. Toutefois comment pouvons nous Ă©valuer la meilleure pratique de l’une de ces 2 tribus ?

Au sommet de la tribu des Cool Kids

La genèse des Cool Kids

La genèse des cool kids

Vous trouvez quelques gens sympas et cool, d’autres plus renfermĂ©s, certains d’entre eux ont mis sur pied des recettes de conseils pĂ©pères, d’autres profitent de l’argent et de l’attention qui vient de leur famille, carrière, retraite, relation…

L’objectif d’un Cool Kid c’est de passer des bons moments en ligne. Ils peuvent ĂŞtre freelance, voir mĂŞme chef d’entreprise, il peuvent avoir un titre propre comme « gestionnaire de relation client. » Ils travaillent beaucoup ! Car leur patron ou client peuvent ĂŞtre des ambitieux ou managers dĂ©semparĂ©s par l’Ă©conomie de crise, et Les cool kids sont les premiers Ă  ĂŞtre licenciĂ© en cas de problèmes. Mais, gĂ©nĂ©ralement ils s’en sortent bien ; ils ont un grand nombre de relations et mène une vie dĂ©cente…

Cependant il y a une grande Ă©pidĂ©mie des Cool Kids. Certes ils savent capter l’attention, mais ne savent pas quoi faire de leurs contacts. Ils ont 50 000 amis sur Facebook, Twitter, 35 012 abonnĂ©s et seulement 20 € Ă  la banque. Évidemment, les Cool Kids ne peuvent rien apprendre et obtenir de la tribu des Imer pour eux« Ces gars-lĂ  sont de mauvaise foie et flippant, de plus ils font des choses que Google n’aime pas ! »  Donc pour les Cool kids vivre au sous-sol de leurs parents n’est pas si mal. « Avez-vous vu la nouvelle affaire que j’ai fait pour mon iPhone 3G ?« 

 

Au sommet de la tribu des Imer 

La genèse des Imer

La genèse des Imer

Vous trouvez des gens qui font du Marketing Internet pour certains c’est de l’argent facile et perçoivent d’Ă©normes revenus. Certains d’entre eux vendent mĂŞme du vide, d’autres vendent des choses plus utiles. Le tout est toujours emballĂ© de la mĂŞme façon et il est difficile de faire la diffĂ©rence.

Ces Imer vous diront que la dĂ©cision la plus difficile de la journĂ©e a Ă©tĂ© de savoir s’il vont conduire la Porsche Ă  Venise ou piloter l’avion privĂ© jusqu’Ă  Monaco pour faire la fĂŞte avec leurs petites amies. Cependant ces Imer travaillent dur, les plus intelligents ont construit de grandes entreprises en offrant une vraie valeur Ă  leurs clients. Toutefois l’histoire d’avoir une Porsche, un jet privĂ© et des petites amies est vraie !

Cependant, pas tous les Imer réussissent

En effet, il existe une classe moyenne qui se contente de passer de bons moment sur le web. Ils rĂ©alisent le mĂŞme revenu qu’une petite ou moyenne entreprise du monde rĂ©el, mais avec tous les soucis en moins. Certes, ils sont loin de la Porsche, mais ils peuvent payer leurs factures et bien consommer, passer du temps avec leurs enfants. Leur seul problème c’est qu’ils ressentent comme un Ă©chec de ne pas gagner 1000 000 €, et leurs Ă©pouses ont dĂ©finitivement mis leur droit de veto sur la petite amie.

Puis, il y eu une grande Ă©pidĂ©mie de la tribu. En effet, les Imer dĂ©pensaient des dizaines de milliers de dollars sur des tours de magie Ă  comprendre l’arbitrage du cout par clic, a tanguer sur les emplacements d’un produit, le choix et rachat d’un domaine, tout cela en puisant sur leur carte de crĂ©dit.

Il y eu aussi le groupe d’Imer (Black Hat) qui disparu de la carte, car il pratiquait depuis trop longtemps un mauvais marketing qui Ă©tait contraire Ă  l’Ă©tique du web et ces Black Hat ont payĂ© le prix fort pour cela, la Federal Trade Commission leur ont tout pris.

Évidemment, ces Imer n’ont aucun moyen d’apprendre et d’obtenir quelque chose de la tribu Cool Kids. « Ces gars-lĂ  sont des snobs ils ont des tĂŞtes de papinou et ne font pas d’argent ! » Et d’avoir une femme le chasser de la maison n’est pas si mauvais que ça pour cet Imer. « Avez-vous vu la voiture que je vais acheter. Puis dès la rĂ©ception des DVD je vais faire un carton avec ce produit miracle et ma femme sera bien déçue ! »

Certes, il est impossible de compter uniquement sur l’un des camps des 2 tribus

Si vous êtes soucieux de la diffusion de votre contenu, de votre relationnel, communauté, e-réputation, vous ne pourrez rien apprendre de la communauté des Imer. Car ceux ci vous ont surligné en jaune sur leurs lettres de ventes, certes, il est clair ce sont des personnes a éviter !

Si vous ĂŞtes intĂ©ressĂ© Ă  faire du chiffre, de construire une ligne d’affaires durable, et environ 1.000 fans convertir vos fan en clients, vous avez certainement rien a apprendre des Cool Kids. Ils sont Ă©litistes communistes et vous ne pouvez rien leur demander si vous n’avez pas un pistolet braquĂ© sur leur tempe, ce sont aussi des personnes a Ă©viter.

Je me demande, cependant, s’il existerait une autre tribu qui pourrait rassembler et construire de vraies entreprises en ligne avec de vraies valeurs ? Ces mauvais enfants du web pourraient ils grandir et former une seule et mĂŞme tribu autour de valeurs plus Ă©thiques et commerciales ; Une tribu qui vend des bons produits et prestations, tout en ayant des relations respectueuses et des engagements Ă  longs termes…

Une tribu rĂ©munĂ©rĂ©e pour le travail rĂ©alisĂ©, permettrait Ă  chacun de crĂ©er des entreprises sans dĂ©velopper d’efforts surhumains pour se lancer. Pas nĂ©cessairement devenir ambitieuse, mais devenir plus humaine sans se tuer Ă  la tache.

Est-il possible pour ces mauvais enfants du web de trouver les bonnes valeurs, la satisfaction et la réussite ne sont elles pas à la croisée des chemins ?
Pourrions-nous prétendre avoir fini avec cette vieille école et créer la tribu du web pour le meilleur des 2 mondes ?

Source de l’article : Sonia Simone

– La vente en ligne : prix et qualitĂ© !

Malgré la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs, selon Médiamétrie, le nombre de nouveaux cyberacheteurs est de 3,2 millions pour l’année. La France compte désormais 30,4 millions d’acheteurs en ligne.

Les consommateurs n’hésitent pas à chercher des bonnes affaires sur Internet, le discount, l’offre spécial, la promotion, la vente d’occasion… Le prix performant est toujours un critère de décision pour les cyberacheteurs, mais un prix trop bas le rendra plus méfiant quant à une éventuelle arnaque ! Selon un sondage de l’institut Harris Interactive, 85 % des internautes seraient prêts à payer un peu plus cher pour une meilleure qualité.

Résolution 2012: faire attention de bien répondre aux nouvelles exigences de qualité et de confiance des cyberacheteurs.

 

Les réseaux sociaux :

Les Américains passent 23% de leur temps sur Internet à surfer sur les réseaux sociaux. Les Français sont connectés 4 heures par mois sur Facebook, Viadeo ou Twitter.

De plus en plus d’internautes s’expriment sur des sujets divers, demandent des conseils, des opinions sur Internet. Les réseaux sociaux alors permettent aux entreprises de mieux développer leur activité e-commerce et de tirer parti du capital social.

Résolution 2012 : Renforcer la présence de votre entreprise et activité sur les réseaux sociaux pour fidéliser vos clients, trouver des nouveaux prospects, des partenaires financiers !

 

Le e-commerce :

Alors que le commerce traditionnel est en difficulté, pénalisé par un pouvoir d’achat des Français en berne, les ventes en ligne explosent ! Selon les prévisions exclusives de Xerfi, l’e-commerce continuera sur sa lancée et enregistrera une croissance proche de 20% en 2011 comme en 2012.

Selon une étude de la Fevad et Médiamétrie//NetRatings pendant des fêtes de fin d’année 2011, Internet devient un passage incontournable pour les internautes à Noël. 80% d’entre eux ont l’intention de se rendre sur le web pour préparer leurs achats de fêtes de fin d’année.

Dans le contexte économique actuel, les raisons d’acheter en ligne pour Noël demeurent toujours motivées par la praticité et le prix :

• La praticité (66%)

• Les prix moins chers qu’en magasin (64%)

• La rapidité (51%)

• Le plus grand choix qu’en magasin (49%)

• Économiser le coût du déplacement en voiture (37%)

Résolution 2012 : créer votre boutique sur Internet et réfléchir sur les ventes en ligne.

 

– Le m-commerce :

Le commerce mobile ou m-commerce, correspond à l’utilisation de technologies sans fil, et plus particulièrement de la téléphonie mobile, afin de faire du commerce. Il regroupe l’ensemble des applications commerciales liées aux terminaux mobiles et effectuées le plus souvent en situation de mobilité. Le commerce mobile ne se limite pas aux téléphones portables de type smartphones mais aussi aux tablettes tactiles et PDA.

Le salon e-Commerce Paris a eu lieu au mois de septembre 2011 à Paris. Le m-commerce tient une place grandissante dans cet évènement annuel. Avec le succès des smartphones, le m-commerce est en pleine émergence et de nombreuses opportunités de business sont à imaginer. En 2011, plus d’un possesseur de téléphone mobile sur quatre a déjà réalisé un achat avec son téléphone.

Le mobile-commerce affiche lui aussi de très belles performances au vu des chiffres communiqués par PayPal et IBM :

• +511% de paiements via mobile par rapport à 2010

• des achats réalisés en majorité entre 18h et 19h.

• 9,8% des ventes ont été effectuées depuis un mobile (3,2% en 2010)

• 10,2% des achats ont été effectués depuis un iPhone (5,4%) ou un iPad (4,8%)

• 4,1 % des achats ont été effectués depuis un smartphone Android

RĂ©solution 2012 : penser Ă  convertir les sites pour portables et tablettes !

 

– La vente en ligne : prix et qualitĂ© !

Malgré la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs, selon Médiamétrie, le nombre de nouveaux cyberacheteurs est de 3,2 millions pour l’année. La France compte désormais 30,4 millions d’acheteurs en ligne.

Les consommateurs n’hĂ©sitent pas Ă  chercher des bonnes affaires sur Internet, le discount, l’offre spĂ©cial, la promotion, la vente d’occasion… Le prix performant est toujours un critère de dĂ©cision pour les cyberacheteurs, mais un prix trop bas le rendra plus mĂ©fiant quant Ă  une Ă©ventuelle arnaque ! Selon un sondage de l’institut Harris Interactive, 85 % des internautes seraient prĂŞts Ă  payer un peu plus cher pour une meilleure qualitĂ©.

Compte tenu de l’intérêt que manifestent les internautes pour les bonnes affaires, le prix performant est toujours un critère de décision pour les cyberacheteurs.

Résolution: faire attention de bien répondre aux nouvelles exigences de qualité et de confiance des cyberacheteurs.

 

Les réseaux sociaux :

Les Américains passent 23% de leur temps sur Internet à surfer sur les réseaux sociaux. Les Français sont connectés 4 heures par mois sur Facebook, Viadeo ou Twitter. De plus en plus d’internautes s’expriment sur des sujets divers, demandent des conseils, des opinions sur les réseaux sociaux. Les fans des marques, les recommandations des amis, l’expérience de l’achat en ligne, c’est le e-commerce par le biais des réseaux sociaux.

Les réseaux sociaux alors permettent aux entreprises de mieux développer leur activité e-commerce et de tirer parti du capital social.

Résolution 2012 : Renforcer la présence de votre entreprise et activité sur les réseaux sociaux pour fidéliser vos clients, trouver des nouveaux prospects, des partenaires financiers !

 

Le e-commerce :

Alors que le commerce traditionnel est en difficulté, pénalisé par un pouvoir d’achat des Français en berne, les ventes en ligne explosent ! Selon les prévisions exclusives de Xerfi, l’e-commerce continuera sur sa lancée et enregistrera une croissance proche de 20% en 2011 comme en 2012.

Selon une étude de la Fevad et Médiamétrie//NetRatings pendant des fêtes de fin d’année 2011, Internet devient un passage incontournable pour les internautes à Noël. 80% d’entre eux ont l’intention de se rendre sur le web pour préparer leurs achats de fêtes de fin d’année.

Dans le contexte économique actuel, les raisons d’acheter en ligne pour Noël demeurent toujours motivées par la praticité et le prix :

• La praticité (66%)

• Les prix moins chers qu’en magasin (64%)

• La rapidité (51%)

• Le plus grand choix qu’en magasin (49%)

• Économiser le coût du déplacement en voiture (37%)

Résolution 2012 : créer votre boutique sur Internet et réfléchir sur les ventes en ligne.

 

– Le m-commerce :

Le commerce mobile ou m-commerce, correspond Ă  l’utilisation de technologies sans fil, et plus particulièrement de la tĂ©lĂ©phonie mobile, afin de faire du commerce. Il regroupe l’ensemble des applications commerciales liĂ©es aux terminaux mobiles et effectuĂ©es le plus souvent en situation de mobilitĂ©. Le commerce mobile ne se limite pas aux tĂ©lĂ©phones portables de type smartphones mais aussi aux tablettes tactiles et PDA.

Le salon e-Commerce Paris a eu lieu au mois de septembre 2011 à Paris. Le m-commerce tient une place grandissante dans cet évènement annuel. Avec le succès des smartphones, le m-commerce est en pleine émergence et de nombreuses opportunités de business sont à imaginer. En 2011, plus d’un possesseur de téléphone mobile sur quatre a déjà réalisé un achat avec son téléphone.

Le mobile-commerce affiche lui aussi de très belles performances au vu des chiffres communiqués par PayPal et IBM :

• +511% de paiements via mobile par rapport à 2010

• des achats réalisés en majorité entre 18h et 19h.

• 9,8% des ventes ont été effectuées depuis un mobile (3,2% en 2010)

• 10,2% des achats ont été effectués depuis un iPhone (5,4%) ou un iPad (4,8%)

• 4,1 % des achats ont été effectués depuis un smartphone Android

RĂ©solution 2012 : penser Ă  convertir les sites pour portables et tablettes !

– Mentionnez « marketing internet » Ă  certains et des images dĂ©sagrĂ©ables de « gourous » leur viennent Ă  l’esprit. Ce sont les (IMER)
– Mentionnez « social media marketing » a d’autres, ce sont des idĂ©alistes qui font de la communication sur le Net. Ce sont les (COOL KIDS)

D’un cĂ´tĂ©, c’est la tribu des Cool Kids . Leur passion c’est la communication et ils utilisent les logiciels open-source, des coupes de cheveux Ă  la mode, ils sont sur la bonne voix et ont de l’influence, ce sont de très bons auditeurs. Ils font parti d’un collectif qui ressemble un peu a des crĂ©atures cybernĂ©tiques, se branchant dans la conscience collective. Ils passent plus de temps Ă  la mise Ă  jour du collectif et dĂ©laissent en parti leur activitĂ© et Ă©conomie.

– Mentionnez « marketing internet » Ă  certains et des images dĂ©sagrĂ©ables de « gourous » leur viennent Ă  l’esprit. Ce sont les (IMER)
– Mentionnez « social media marketing » a d’autres, ce sont des idĂ©alistes qui font de la communication sur le Net. Ce sont les (COOL KIDS)

D’un cĂ´tĂ©, c’est la tribu des Cool Kids . Leur passion c’est la communication et ils utilisent les logiciels open-source, des coupes de cheveux Ă  la mode, ils sont sur la bonne voix et ont de l’influence, ce sont de très bons auditeurs. Ils font parti d’un collectif qui ressemble un peu a des crĂ©atures cybernĂ©tiques, se branchant dans la conscience collective. Ils passent plus de temps Ă  la mise Ă  jour du collectif et dĂ©laissent en parti leur activitĂ© et Ă©conomie.

Au cours des dernières années, le marketing en ligne a été scindé en deux équipes adverses soit 2 tribus : Les COOL KIDS et les IMER.

Ne laissez pas les «fenĂŞtres cassĂ©es» (mauvaises conceptions, mauvaises dĂ©cisions ou mauvais code) non rĂ©parĂ©es. RĂ©parez chacun dès qu’il est dĂ©couvert. S’il n’y a pas assez de temps pour le rĂ©parer correctement, retirer le. Vous pouvez peut-ĂŞtre commenter le code incriminĂ©, afficher un message « Non implĂ©menté » ou substituer des donnĂ©es factices Ă  la place. Prenez des mesures pour Ă©viter d’autres dommages et pour montrer que vous ĂŞtes informĂ© de la situation.

Nous avons vu des systèmes propres et fonctionnels se dĂ©tĂ©riorer assez rapidement une fois que les fenĂŞtres ont commencĂ© Ă  se briser. Il y a d’autres facteurs qui peuvent contribuer Ă  la destruction des logiciels, et nous en aborderons d’autres ailleurs, mais la nĂ©gligence accĂ©lère la dĂ©gradation plus rapidement que tout autre facteur.

Ce rĂ©cit de fenĂŞtres cassĂ©es est un bon conseil pour les programmeurs et s’appliquent dans bien d’autres domaines et personnes du genre humain.

 

Histoire du web de l’après crise ! (RĂ©cits du web)

Le marché aux ânes

Histoire du web le marchĂ© aux ânesCe jour lĂ , un homme d’affaire arriva au village tout essoufflĂ©. Il proposa aux habitants du village d’acheter leurs ânes pour 1000 € pièce. Une telle somme ne pouvait que sĂ©duire la population et ils vendirent leur bĂŞte. Le lendemain, l’homme revint et offrit 1500 € pour chaque âne que l’on voulut bien lui vendre.

Le jour suivant, il paya 3000 € et acheta tous les ânes qu’il trouva dans la rĂ©gion. Voyant qu’il n’y avait plus d’âne Ă  acheter, il annonça qu’il reviendrait la semaine suivante, et offrirait 5000 € par âne.

Le jour suivant, il envoya son assistant au village avec les ânes qu’il y avait achetĂ©s. L’assistant vendit les ânes au prix de 4000 € pièce aux villageois tout contents de l’argent qu’ils allaient gagner si facilement, et ceux qui n’avaient pas d’argent empruntèrent.

Bien entendu, ni l’homme d’affaire ni son assistant ne revinrent dans le village qui Ă©tait plein d’ânes et couvert de dettes.

Les jours suivants, les habitants qui avaient empruntĂ© l’argent ne pouvaient plus rembourser. Quant Ă  ceux qui avaient prĂŞtĂ© l’argent, ils allèrent se plaindre auprès du conseil municipal dĂ©clarant que s’ils n’Ă©taient pas remboursĂ©s, ils seraient ruinĂ©s, qu’ils ne pourraient pas continuer Ă  prĂŞter et que le peuple serait ruinĂ©.

Afin d’Ă©viter la catastrophe, le maire dĂ©cida d’intervenir. Mais au lieu de donner l’argent aux villageois pour qu’ils payent directement leurs dettes, le maire donna l’argent aux prĂŞteurs d’argent. Une fois renflouĂ©s, ceux-ci dĂ©cidèrent de ne pas annuler leur dette et continuèrent de poursuivre le recouvrement avec intĂ©rĂŞts.

Par la suite, le maire dilapida le budget municipal et la commune se retrouva également endettée.

Il demanda alors l’aide d’autres communes qui refusèrent, considĂ©rant que son niveau d’endettement ne lui permettrait jamais de les rembourser.

Du cotĂ© des prĂŞteurs, ils se retrouvèrent convenablement renflouĂ©s et Ă  la tĂŞte de nombreuses crĂ©ances, leur permettant ainsi de saisir des ânes dĂ©valuĂ©s dont le prix de vente n’en couvrait pas la totalitĂ©, et continuèrent longtemps de percevoir remboursements et intĂ©rĂŞts…

La population du village se retrouva sans âne et endettée à vie dans une commune ruinée.

Pour finir : L’homme d’affaire envoya un autre assistant offrir son aide au conseil municipal afin de sauver le village et les villageois, en fixant comme conditions de lui prĂŞter de l’argent qu’il rĂ©duise ses dĂ©penses et lui verse des intĂ©rĂŞts très Ă©levĂ©s.

Ainsi, Le maire augmenta les impĂ´ts, supprima les services publics et baissa les salaires de ses fonctionnaires. Et le peuple s’appauvrit encore et resta endettĂ© pendant plusieurs gĂ©nĂ©rations…

 


Histoire du web ; Les dangers des réseaux sociaux 

L’avènement des mĂ©dias sociaux et du Web 2.0 (annĂ©es 2000) :

Les annĂ©es 2000 ont vu l’Ă©mergence des mĂ©dias sociaux tels que Friendster, MySpace, et plus tard Facebook. Le concept de Web 2.0 a Ă©galement pris de l’ampleur, mettant l’accent sur la participation et la collaboration des utilisateurs.

Vous avez tous entendu parler des réseaux sociaux et des GAFA. Facebook, Twitter, LinkedIn, MySpace…

Les réseaux se propagent et réunissent aujourd’hui (Certes, en mai 2009) pas moins de 20 millions de français (+ 26 % en un an), dont plus de 8 millions de connexions chaque jour !

Certains réseaux ont une vocation plus professionnelle que d’autres, et le phénomène ne cesse de s’amplifier.

Pourquoi cet engouement pour les réseaux sociaux et quels sont leurs effets, leurs dangers, comment protéger votre vie privée sur cette véritable « place publique » ?

Le phénomène des réseaux sociaux

Certains réseaux sociaux sont plus populaires que d’autres :

– Facebook, arrive en tĂŞte avec plus de 400 millions d’utilisateurs dans le monde (dont 15 millions d’actifs en France) et plus de 25 milliards d’élĂ©ments de contenu partagĂ©s chaque mois. Il est le 5e site en audience, le 7e en temps passĂ© et recense près de 21 millions de visiteurs en un mois.

– MySpace, regroupe 130 millions d’utilisateurs dans le monde.

– Twitter, rassemble 105 millions d’utilisateurs dans le monde (dont 13 millions d’actifs et 225 000 internautes français), avec, chaque jour, 55 millions de tweets, 300 000 nouveaux comptes et 1,6 millions de visiteurs.

Linkedin, Copainsdavant, Hi5, Trombi, Viadeo, Skyrock, Windows Live…

Garder ou reprendre contact, créer de nouveaux liens, s’exprimer, étendre son réseau professionnel, se mettre en scène, partager ses opinions, ses passions, se faire connaître… L’utilisation que les internautes font des réseaux sociaux est assez variée.

Aussi, on fait toujours plus confiance à ses amis, aux opinions humaines qu’aux publicités. C’est pourquoi l’échange d’avis entre les internautes, et surtout entre amis, influence beaucoup l’acte d’achat.

Le lien social est donc ce qui fait la force et le succès de ces sites en plein essor, également fortement visités depuis les téléphones mobiles !

Les réseaux sociaux sont ils un réel danger pour notre vie privée

Pouvons nous échanger et s’exprimer librement sur les réseaux sociaux auprès de ses amis, l’internaute se sent mis en confiance et rassuré derrière son écran. Il étale plus facilement sa vie privée, oubliant que chaque fait et geste est mémorisé et peut lui être fatal.

C’est ce qui est arrivé il y a 4 ans à Stacy Snyder, 25 ans, stagiaire dans une école américaine. Elle avait publié, sur MySpace, une photo d’elle avec un chapeau de pirate, un gobelet à la main et légendée « Pirate ivre ». Son superviseur, tombé sur la page, l’a accusée de manque de professionnalisme et d’incitation virtuelle à la consommation d’alcool vis-à-vis de ses élèves mineurs et lui a refusé la délivrance de son diplôme d’enseignante.

Un autre exemple avec une employée de bureau britannique de 16 ans s’étant plainte sur Facebook « Je crève d’ennui ! »… Elle a été renvoyée.

Il faut savoir que 75 % des recruteurs font des recherches en ligne sur les candidats et 70% ont déjà rejeté des candidatures suite à des informations du candidats trouvées sur Internet.

Ce phénomène tend à se développer en France. On se retrouve ainsi jugé et dégradé sur des faits personnels, parfois même passés depuis longtemps, qui ne veulent rien dire et qui peuvent nous porter gravement préjudice car en effet, les gens accordent davantage d’attention aux nouvelles négatives que positives…

Autres risques des réseaux sociaux

– Le plagiat : pour une entreprise concurrente, un rĂ©seau social professionnel comme Viadeo est idĂ©al pour suivre ce que vous faites et ainsi faciliter sa veille concurrentielle. Une simple demande d’ajout de contact, et elle accède Ă  vos actualitĂ©s, qui pourraient bien les inspirer…

– L’usurpation d’identitĂ© : on peut facilement se faire passer pour quelqu’un d’autre, personne n’est lĂ  pour vĂ©rifier !

– L’atteinte Ă  la vie privĂ©e : les informations et les photos nous concernant ne sont pas toujours de notre fait : on a vite fait de se retrouver sur une photo dĂ©gradante publiĂ©e par un ami Ă  une soirĂ©e par exemple, sans que l’on ait donnĂ© son accord !

Peut-on protéger sa vie privée malgré tout ?

Cela semble difficile, car même la loi a du mal à intervenir sur la question. En effet, le nombre de « Twittergations » (procès visant à obliger des sites Internet à retirer les informations fausses ou diffamatoires) augmente, mais la loi concerne bien les éléments divulgués par d’autres et non par nous-mêmes…

La meilleure solution reste donc de supprimer les propos et images dégradants et surtout, de faire attention à ce que l’on met en ligne…!

 

Les Pionniers du WEB

L’histoire des pionniers du web remonte aux premiers jours de l’Internet, une Ă©poque oĂą les idĂ©es novatrices et les technologies Ă©mergentes ont ouvert la voie Ă  la crĂ©ation du World Wide Web tel que nous le connaissons aujourd’hui.  

L'histoire des pionniers du web remonte aux premiers jours de l'Internet

Les pionniers du web

Les prĂ©mices de l’Internet (annĂ©es 1960-1970) :

L’idĂ©e d’un rĂ©seau d’ordinateurs interconnectĂ©s a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e dans les annĂ©es 1960, un rĂ©seau de recherche financĂ© par le dĂ©partement amĂ©ricain de la DĂ©fense.

La naissance du World Wide Web fut dans les années 1980)

En 1989, Sir Tim Berners-Lee, un scientifique britannique travaillant au CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire), a inventé le World Wide Web. Il a créé le premier serveur web, le premier navigateur web (appelé « WorldWideWeb », renommé ensuite Nexus) et a rédigé le tout premier site web.

La popularisation du web (années 1990) :

Au dĂ©but des annĂ©es 1990, le web a commencĂ© Ă  se rĂ©pandre rapidement. Les premiers navigateurs grand public tels que Mosaic ont Ă©tĂ© lancĂ©s, facilitant l’accès au web pour le grand public. Des entreprises comme Netscape ont jouĂ© un rĂ´le majeur dans la popularisation du web en lançant leur navigateur Netscape Navigator.

L’Ă©mergence des moteurs de recherche (annĂ©es 1990) :

Des moteurs de recherche comme Yahoo! et plus tard Google ont été lancés pour aider les utilisateurs à naviguer à travers la croissance exponentielle du contenu sur le web.

La bulle dot-com (fin des années 1990) :

La fin des annĂ©es 1990 a Ă©tĂ© marquĂ©e par une frĂ©nĂ©sie d’investissements dans les entreprises liĂ©es Ă  Internet, conduisant Ă  la bulle dot-com. De nombreuses entreprises ont Ă©mergĂ©, mais certaines ont Ă©galement Ă©chouĂ©.

L’avènement des mĂ©dias sociaux et du Web 2.0 (annĂ©es 2000) :

Les annĂ©es 2000 ont vu l’Ă©mergence des mĂ©dias sociaux tels que Friendster, MySpace, et plus tard Facebook. Le concept de Web 2.0 a Ă©galement pris de l’ampleur, mettant l’accent sur la participation et la collaboration des utilisateurs.

L’expansion mobile (annĂ©es 2010) :

Avec la prolifĂ©ration des smartphones, l’accès au web s’est Ă©tendu aux appareils mobiles. Des plateformes comme Instagram, Snapchat et Twitter ont gagnĂ© en popularitĂ©.

L’essor du commerce en ligne et du cloud (annĂ©es 2010-2020) :

Le commerce en ligne a connu une croissance exponentielle avec des entreprises comme Amazon et Alibaba. Le cloud computing a également gagné en importance, offrant des services et des solutions de stockage en ligne.

Les dĂ©fis actuels et l’avenir (annĂ©es 2020 et au-delĂ ) :

Des prĂ©occupations liĂ©es Ă  la vie privĂ©e, Ă  la dĂ©sinformation et Ă  la cybersĂ©curitĂ© sont devenues des enjeux majeurs. L’Ă©volution continue de la technologie, y compris l’intelligence artificielle et la rĂ©alitĂ© virtuelle, continue de façonner l’avenir du web.

Les pionniers du web ont jouĂ© un rĂ´le crucial dans la crĂ©ation, la croissance et la diversification du World Wide Web, ouvrant la voie Ă  une ère d’information et de communication sans prĂ©cĂ©dent.

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4 comments

beaufort 30 octobre 2014 - 20 h 07 min

La libertĂ© qu’offrent les rĂ©seaux sociaux est importante puisqu’ils permettent aux utilisateurs de poster leurs avis concernant un produit, un service, etc. De par cet aspect, les rĂ©seaux sociaux ont donnĂ© un pouvoir aux consommateurs. Mais cette libertĂ© d’expression qu’elles donnent a aussi une limite. Car oui, tout ce qu’on publie sur ces rĂ©seaux peuvent ĂŞtre retenu contre nous. La preuve, ces chiffres qui rĂ©vèlent que « 75 % des recruteurs amĂ©ricains font des recherches en ligne sur les candidats et que 70% ont dĂ©jĂ  rejetĂ© des candidatures Ă  cause d’informations trouvĂ©es sur Internet. »

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man 29 octobre 2014 - 11 h 19 min

« L’atteinte Ă  la vie privĂ©e ». Ce point est vraiment un rĂ©el problème sur le web car beaucoup ne sont pas conscients que le droit Ă  l’image concerne aussi les utilisateurs des rĂ©seaux sociaux. Selon ce droit, on peut publier la photo d’une amie sur le web seulement si elle a donnĂ© son accord. Or, la rĂ©alitĂ© montre que ce n’est pas toujours le cas. Mais ce qui est dommage c’est qu’aujourd’hui certains recruteurs s’intĂ©ressent au profil Facebook des candidats. Du coup, s’il y a des photos assez gĂŞnantes, cela pourrait entacher leur image.

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denis 14 octobre 2014 - 16 h 10 min

le marchĂ© aux ânes .? tu parles de nos chers dirigeants et des ministres roupillants Ă  l assemblĂ© nationale les Français sont des lions dirigĂ©s par des ânes … lol

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Avenier Michel 14 octobre 2014 - 20 h 36 min

Bonsoir,
Non c’est l’histoire de la crise, il suffit d’interprĂ©ter l’histoire comme cela :
un homme d’affaire et son assistant = les hommes d’affaires (bourse et investisseurs)
les prĂŞteurs d’argents = les banques
un autre assistant = La banque centrale européenne
le maire qui dilapida l’argent = L’Ă©tat qui renfloua les banques
la population du village = un pays ruiné comme la Grèce.

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